Le capital-risque, un investissement gagnant
Le capital-risque implique certes un potentiel échec, mais aussi, et surtout l’opportunité d’une réussite retentissante, d’où la nécessité de miser sur des entreprises prometteuses et innovantes. Ce capital-risque a permis aux États-Unis de faire émerger des entreprises leader dans le domaine du web. Orange et Publicis ont alors annoncé en 2011 qu’ils allaient investir 150 millions d’euros dans ce challenge et projettent de financer les startups de l’Europe, de la Silicon Valley, mais aussi de la Chine. L’investissement d’Orange et de Publicis profitera aux entreprises numériques et aux innovations technologiques qui montrent des signes à fort potentiel. Le projet s’étendra sur 10 ans durant lesquels Orange et Publicis espèrent bien trouver un nouveau Mark Zuckerberg. Les investisseurs se poseront comme actionnaires minoritaires dans les entreprises et soutiendront six années de développement pour chaque Start-up, avec la somme de 500 000 euros en moyenne et des millions d’euros pour les plus grandes sociétés. Le fond Orange/Publicis a deux objectifs principaux qui sont, de participer à la vie sociale, mais aussi de faire des bénéfices en étant actionnaire d’un grand nombre d’entreprises du numérique. Cette initiative permettra à la France de s’aligner par rapport aux autres pays leaders dans le domaine du numérique.
Un nouveau départ pour la France
Orange et Publicis pensent pouvoir attirer l’attention et la faveur des autres investisseurs à l’issue de ce projet qui leur permettra de doubler la mise. Cette forme d’investissement constituera un nouveau départ pour l’industrie du numérique et des nouvelles technologies en France, et les jeunes pousses du numérique français pourront un jour rivaliser avec les géants des États-Unis. Cet investissement concernera les réseaux sociaux, l’e-commerce, la mobilité, la publicité, le marketing en ligne ainsi que les applications middleware. Ce projet est donc une manière judicieuse pour rebooster le secteur technologique français et la concurrence en France. Pour le seed capital, le ticket s’élèvera à 500 000 euros, pour l’early stage il sera de 500 000 à 2 millions d’euros et pourra atteindre 20 millions d’euros pour le capital croissance. Orange et Publicis disent accepter le co-investissement et sont prêts à négocier avec les autres investisseurs pour renforcer le capital-risque. Ils misent d’ailleurs sur une réussite totale de ce projet et n’envisagent pas l’échec une seule seconde. Le seul risque qu’ils peuvent encourir serait peut-être de réussir et de vouloir relever d’autres défis à l’avenir. Sous le nom de code « Gazelle », le projet d’Orange et Publicis est donc des plus ambitieux, tant et si bien qu’il comblera les lacunes de tout l’écosystème français en matière d’aide financière et d’accompagnement des startups.
Le capital-risque implique certes un potentiel échec, mais aussi, et surtout l’opportunité d’une réussite retentissante, d’où la nécessité de miser sur des entreprises prometteuses et innovantes. Ce capital-risque a permis aux États-Unis de faire émerger des entreprises leader dans le domaine du web. Orange et Publicis ont alors annoncé en 2011 qu’ils allaient investir 150 millions d’euros dans ce challenge et projettent de financer les startups de l’Europe, de la Silicon Valley, mais aussi de la Chine. L’investissement d’Orange et de Publicis profitera aux entreprises numériques et aux innovations technologiques qui montrent des signes à fort potentiel. Le projet s’étendra sur 10 ans durant lesquels Orange et Publicis espèrent bien trouver un nouveau Mark Zuckerberg. Les investisseurs se poseront comme actionnaires minoritaires dans les entreprises et soutiendront six années de développement pour chaque Start-up, avec la somme de 500 000 euros en moyenne et des millions d’euros pour les plus grandes sociétés. Le fond Orange/Publicis a deux objectifs principaux qui sont, de participer à la vie sociale, mais aussi de faire des bénéfices en étant actionnaire d’un grand nombre d’entreprises du numérique. Cette initiative permettra à la France de s’aligner par rapport aux autres pays leaders dans le domaine du numérique.
Un nouveau départ pour la France
Orange et Publicis pensent pouvoir attirer l’attention et la faveur des autres investisseurs à l’issue de ce projet qui leur permettra de doubler la mise. Cette forme d’investissement constituera un nouveau départ pour l’industrie du numérique et des nouvelles technologies en France, et les jeunes pousses du numérique français pourront un jour rivaliser avec les géants des États-Unis. Cet investissement concernera les réseaux sociaux, l’e-commerce, la mobilité, la publicité, le marketing en ligne ainsi que les applications middleware. Ce projet est donc une manière judicieuse pour rebooster le secteur technologique français et la concurrence en France. Pour le seed capital, le ticket s’élèvera à 500 000 euros, pour l’early stage il sera de 500 000 à 2 millions d’euros et pourra atteindre 20 millions d’euros pour le capital croissance. Orange et Publicis disent accepter le co-investissement et sont prêts à négocier avec les autres investisseurs pour renforcer le capital-risque. Ils misent d’ailleurs sur une réussite totale de ce projet et n’envisagent pas l’échec une seule seconde. Le seul risque qu’ils peuvent encourir serait peut-être de réussir et de vouloir relever d’autres défis à l’avenir. Sous le nom de code « Gazelle », le projet d’Orange et Publicis est donc des plus ambitieux, tant et si bien qu’il comblera les lacunes de tout l’écosystème français en matière d’aide financière et d’accompagnement des startups.