Une diversité de solutions
Les banques en ligne proposent aux PME une suite d’outils leur permettant de contrôler tous les flux relatifs à l’activité de l’entreprise : avis de prélèvements, lettres de change, virements perçus, prélèvements encaissés, avis de domiciliation... La gestion de nombreuses opérations est également possible : paiement des salaires et règlements de fournisseurs par virement, encaissement de créances clients par prélèvement... Certains établissements financiers dématérialisent même leurs solutions de crédit aux entreprises. Chez GE Capital Factofrance par exemple, la réponse à une demande de crédit est donnée en ligne. Si celle-ci est accordée, le contrat de prêt est à télécharger. C’est ainsi qu’en quelques minutes, la PME obtient un financement à court terme plafonné à 100 000 €, sans qu’aucune caution du dirigeant ne soit nécessaire. Pour que les banques tiennent compte de la requête « exécution », l'entreprise peut être amenée à utiliser la signature électronique.
Une économie de temps
Ces outils évitent de perdre du temps et génèrent des gains de productivité puisque les procédures sont automatisées. La saisie des informations est centralisée en un seul point et les relations clients-fournisseurs s’en trouvent améliorées. Pour communiquer avec leurs banques en ligne, les PME disposent de deux solutions. La formule « internet propriétaire » qui est recommandée aux très petites entreprises, car elle est facile d'utilisation, en plus d’avoir un coût global minime, se limitant à quelques dizaines d'euros par mois, et la formule télétransmission bancaire qui, pour sa part consiste à communiquer avec les banques, dans un langage standardisé : le protocole de communication bancaire baptisé Ebics (Electronic Banking Internet Communication Standard). Pour cela, l'entreprise achète ou loue un logiciel de communication bancaire. Ce logiciel est proposé par tout éditeur informatique et coûte quelques milliers d'euros.
Des opérations sécurisées et à petit budget
Les opérations réalisées par le biais d’une banque en ligne ont le mérite d’être aussi faciles que sécurisées. Étant donné que les banques n’utilisent plus aucun support papier ni numérique, le risque de perdre des données disparaît et celui lié aux erreurs de saisies (y compris pour les instructions clients) est fortement réduit. En outre, la mise en œuvre de procédures électroniques particulièrement sécurisées pour la transmission et la signature des instructions écarte tout risque de fraude. Mais par-dessus tout, le e-banking admet des coûts inférieurs à ceux des banques traditionnelles, ce qui forcément se répercute sur le prix des services. Par exemple, le coût d’un ordre de virement ordinaire est de 3,50 euros à la Société générale. Il est de 0,19 euro si l’instruction est donnée via une banque en ligne. De quoi séduire un grand nombre d’usagers.
Les banques en ligne proposent aux PME une suite d’outils leur permettant de contrôler tous les flux relatifs à l’activité de l’entreprise : avis de prélèvements, lettres de change, virements perçus, prélèvements encaissés, avis de domiciliation... La gestion de nombreuses opérations est également possible : paiement des salaires et règlements de fournisseurs par virement, encaissement de créances clients par prélèvement... Certains établissements financiers dématérialisent même leurs solutions de crédit aux entreprises. Chez GE Capital Factofrance par exemple, la réponse à une demande de crédit est donnée en ligne. Si celle-ci est accordée, le contrat de prêt est à télécharger. C’est ainsi qu’en quelques minutes, la PME obtient un financement à court terme plafonné à 100 000 €, sans qu’aucune caution du dirigeant ne soit nécessaire. Pour que les banques tiennent compte de la requête « exécution », l'entreprise peut être amenée à utiliser la signature électronique.
Une économie de temps
Ces outils évitent de perdre du temps et génèrent des gains de productivité puisque les procédures sont automatisées. La saisie des informations est centralisée en un seul point et les relations clients-fournisseurs s’en trouvent améliorées. Pour communiquer avec leurs banques en ligne, les PME disposent de deux solutions. La formule « internet propriétaire » qui est recommandée aux très petites entreprises, car elle est facile d'utilisation, en plus d’avoir un coût global minime, se limitant à quelques dizaines d'euros par mois, et la formule télétransmission bancaire qui, pour sa part consiste à communiquer avec les banques, dans un langage standardisé : le protocole de communication bancaire baptisé Ebics (Electronic Banking Internet Communication Standard). Pour cela, l'entreprise achète ou loue un logiciel de communication bancaire. Ce logiciel est proposé par tout éditeur informatique et coûte quelques milliers d'euros.
Des opérations sécurisées et à petit budget
Les opérations réalisées par le biais d’une banque en ligne ont le mérite d’être aussi faciles que sécurisées. Étant donné que les banques n’utilisent plus aucun support papier ni numérique, le risque de perdre des données disparaît et celui lié aux erreurs de saisies (y compris pour les instructions clients) est fortement réduit. En outre, la mise en œuvre de procédures électroniques particulièrement sécurisées pour la transmission et la signature des instructions écarte tout risque de fraude. Mais par-dessus tout, le e-banking admet des coûts inférieurs à ceux des banques traditionnelles, ce qui forcément se répercute sur le prix des services. Par exemple, le coût d’un ordre de virement ordinaire est de 3,50 euros à la Société générale. Il est de 0,19 euro si l’instruction est donnée via une banque en ligne. De quoi séduire un grand nombre d’usagers.