Cette « résistance civile » a été annoncée lors d’une conférence de presse à Madrid par Alberto Núñez Feijóo, le chef de file de la principale force d’opposition de droite au parlement espagnol, le Partido Popular (PP/PPE).
En échange du soutien des séparatistes catalans pour être rétabli dans ses fonctions de Premier ministre, le Premier ministre par intérim et chef du parti socialiste (PSOE) Pedro Sánchez a cédé au « chantage » de la formation séparatiste catalane JxCat, a déclaré M. Núñez Feijóo lors de sa conférence de presse, a rapporté El Periódico de Catalunya.
L’accord « historique » annoncé jeudi matin entre le PSOE et JxCat, dirigé par l’ancien président de la région catalane Carles Puigdemont, en auto-exil à Bruxelles depuis les événements de 2017, est une « capitulation inconditionnelle » de Madrid devant les séparatistes a déploré M. Núñez Feijóo, arguant que M. Sánchez a cédé à toutes les exigences fixées par les séparatistes pour obtenir leur soutien dans une coalition de gouvernement.
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