Des milliers de documents internes à Uber ont été adressés par une source anonyme au quotidien britannique The Guardian, menant à l'ouverture d'une enquête d'envergure baptisée les « Uber Files », le soir du dimanche 10 juillet. Ainsi, la plateforme Uber s'est retrouvée plongée dans son passé tumultueux, accusée d'avoir « enfreint la loi » et utilisé des méthodes brutales pour s'imposer malgré les réticences des politiques et des compagnies de taxis.
« Nous n'avons pas justifié et ne cherchons pas d'excuses pour des comportements qui ne sont pas conformes à nos valeurs actuelles en tant qu'entreprise », a indiqué Jill Hazelbaker, vice-présidente chargée des affaires publiques d'Uber, dans un communiqué en ligne. « Nous demandons au public de nous juger sur ce que nous avons fait au cours des cinq dernières années et sur ce que nous ferons dans les années à venir », a-t-elle ajouté.
LIRE LA SUITE