Notion de complexité
Il est dans la nature humaine de vouloir fragmenter les tâches avant de traiter un projet d'envergure. Cependant, bon nombre de paramètres ne peuvent être discernés de la sorte, car l'approche manque de globalité. Ainsi, pour conserver un contrôle maximum, les sciences de la complexité peuvent être d'un grand secours. À savoir que ces derrières permettent justement une approche plus globale des problématiques, car elles se basent à la fois sur, les systèmes d'émergence, l'auto organisation, et les redondances. Les caractéristiques liées à la complexité des systèmes d'émergence sont analysées selon le principe qu'un tout, est composé de multiples parties qui ne se réduisent pas à une entité distincte. Autrement dit, c’est la globalité qui permet de définir les tâches et les facteurs isolés. En matière d'auto organisation, les sciences de la complexité considèrent que le monde s'organise aussi bien par l'ordre que le désordre, et qu'il ne faut donc pas être trop « carré » dans son approche. Puis, les redondances ne doivent pas être considérées comme de simples répétitions, car elles se manifestent sous diverses formes et peuvent traduire des schémas ou motifs, qui au final seront différents, et donc à appréhender comme critère d'émergence. La notion de complexité est pour le mois difficile à cerner, aussi, la gestion de la complexité est un véritable métier.
Gérer les risques
Le management de la complexité nécessite une approche très technique qu'il convient de confier à des experts tels que des consultants. C'est un véritable métier et les grandes entreprises, institutions publiques ou associatives, ne possèdent pas toujours les compétences. Faire appel à des spécialistes extérieurs ne doit donc pas être un tabou pour l’entreprise, il en va de la pérennisation de son développement. Le fait de solliciter des compétences extérieures est en effet toujours considéré comme un signe de faiblesse chez les entreprises, mais pour celles qui passent le cap en matière de management de la complexité, cela représente une plus value importante, notamment pour le management de projet, qui implique beaucoup d'acteurs. Il s'agira pour les consultants d'avoir une approche systémique globale, qui prendra en considération aussi bien les aspects liés à la médiation, au ciblage des missions de chaque corps de métiers, qu'à la gestion des difficultés, ainsi qu'à la mise en place de nouveau modèle d'organisation et de structure décisionnelle. L'organisme Ecopol fait d'ailleurs partie de ceux qui sont capables de gérer le management de la complexité, tout en intégrant les problématiques environnementales et sociales. L'organisme se veut d'ailleurs le moteur d'une dynamique communautaire et écologique.
Il est dans la nature humaine de vouloir fragmenter les tâches avant de traiter un projet d'envergure. Cependant, bon nombre de paramètres ne peuvent être discernés de la sorte, car l'approche manque de globalité. Ainsi, pour conserver un contrôle maximum, les sciences de la complexité peuvent être d'un grand secours. À savoir que ces derrières permettent justement une approche plus globale des problématiques, car elles se basent à la fois sur, les systèmes d'émergence, l'auto organisation, et les redondances. Les caractéristiques liées à la complexité des systèmes d'émergence sont analysées selon le principe qu'un tout, est composé de multiples parties qui ne se réduisent pas à une entité distincte. Autrement dit, c’est la globalité qui permet de définir les tâches et les facteurs isolés. En matière d'auto organisation, les sciences de la complexité considèrent que le monde s'organise aussi bien par l'ordre que le désordre, et qu'il ne faut donc pas être trop « carré » dans son approche. Puis, les redondances ne doivent pas être considérées comme de simples répétitions, car elles se manifestent sous diverses formes et peuvent traduire des schémas ou motifs, qui au final seront différents, et donc à appréhender comme critère d'émergence. La notion de complexité est pour le mois difficile à cerner, aussi, la gestion de la complexité est un véritable métier.
Gérer les risques
Le management de la complexité nécessite une approche très technique qu'il convient de confier à des experts tels que des consultants. C'est un véritable métier et les grandes entreprises, institutions publiques ou associatives, ne possèdent pas toujours les compétences. Faire appel à des spécialistes extérieurs ne doit donc pas être un tabou pour l’entreprise, il en va de la pérennisation de son développement. Le fait de solliciter des compétences extérieures est en effet toujours considéré comme un signe de faiblesse chez les entreprises, mais pour celles qui passent le cap en matière de management de la complexité, cela représente une plus value importante, notamment pour le management de projet, qui implique beaucoup d'acteurs. Il s'agira pour les consultants d'avoir une approche systémique globale, qui prendra en considération aussi bien les aspects liés à la médiation, au ciblage des missions de chaque corps de métiers, qu'à la gestion des difficultés, ainsi qu'à la mise en place de nouveau modèle d'organisation et de structure décisionnelle. L'organisme Ecopol fait d'ailleurs partie de ceux qui sont capables de gérer le management de la complexité, tout en intégrant les problématiques environnementales et sociales. L'organisme se veut d'ailleurs le moteur d'une dynamique communautaire et écologique.