Un management global par la philosophie
Plutôt que de vouloir sans cesse ajuster les paramètres de pilotage, en fonction des aléas du marché, il convient d'avoir une approche plus globale des éco systèmes économiques. Et c'est là que la philosophie peut apporter des réponses au management. En effet, la philosophie en plus d'être incitatrice au changement, est une discipline qui dispose d'une expérience globale sur les phénomènes humains. Une expérience bâtie sur un amas de concept nuancé dont les critères individualistes et collectifs sont considérés à égalité, pour former un tout. Ainsi, d'une réflexion paradoxalement, aussi large que focalisée sur un point, on peut découvrir l’exact scénario à mettre en œuvre pour atteindre un objectif précis. Les problématiques d'aujourd'hui portant entre autres, sur le développement durable et la RSE, favorisent l'émergence de nouveau courant de pensée, tant leur association avec le monde des affaires est complexe. C'est souvent sans revoir l'approche managériale que les entreprises se lancent dans des politiques de développement durable et RSE, et il en résulte un empêtrement de difficultés managériales.
Réfléchir avant d'agir
Le culte de l'urgence amène les managers à agir souvent trop vite, pour résoudre des problèmes. Ainsi, la portée de leurs actes est bien souvent, inefficace sur le long terme. Prenons l'exemple du multi nationalisme des équipes de travail, dans lesquelles des conflits interviennent sans que la cause ne soit vraiment connue. On met en place des dispositifs, des méthodes, des protocoles et tous autres freins au conflit, mais les managers se préoccupent rarement de l'origine profonde des problèmes. Ainsi, une approche par la philosophie permettrait par exemple de comprendre la vision et le ressenti de chacun face à des situations de conflit. De cette manière, les actions entreprises pour résoudre tel ou tel conflit pourraient se faire avec plus d'efficacité, car elles seraient davantage ciblées. C’est d’abord par une approche globale que pourra se définir le ciblage des actions. Ainsi, les obstacles peuvent être dépassés, et les conflits, prévenus à l'avance. Il s'agit en fait d'agir dans la lucidité du contexte, tel qu'il est dans sa globalité et dans sa spécificité.
Lucidité et culture générale
L'approche du management consiste le plus souvent à exclure les facteurs de perturbations. Or, à force de barrières, et de dispositifs, l'exclusion apporte à son tour des problématiques. Un cercle vicieux qui par une approche philosophique peut être rompu. Plutôt que d'exclure, il faut intégrer les facteurs opérationnels avec lucidité. Autrement dit, il faut appréhender les situations avec une intelligence aussi bien pratique qu’émotionnelle. Pour en revenir aux conflits récurent dans les équipes multiculturelles, ces derniers pourraient également être résolus par le seul fait de ne faire travailler ensemble, que des personnes possédant une forte culture générale. Leur cadre de référence étant plus large, une autorégulation se mettrait en place naturellement. Ainsi, avant d’associer des compétences très spécifiques, et de cloisonner les relations, il convient de savoir dans quelle mesure la communication pourra être efficace et comment les objectifs finaux pourraient être atteints. Faire travailler des personnes ensemble, qui ont des aptitudes humaines développées, et une grande culture générale peut ainsi s'avérer plus efficace au développement d'innovation par exemple.
Plutôt que de vouloir sans cesse ajuster les paramètres de pilotage, en fonction des aléas du marché, il convient d'avoir une approche plus globale des éco systèmes économiques. Et c'est là que la philosophie peut apporter des réponses au management. En effet, la philosophie en plus d'être incitatrice au changement, est une discipline qui dispose d'une expérience globale sur les phénomènes humains. Une expérience bâtie sur un amas de concept nuancé dont les critères individualistes et collectifs sont considérés à égalité, pour former un tout. Ainsi, d'une réflexion paradoxalement, aussi large que focalisée sur un point, on peut découvrir l’exact scénario à mettre en œuvre pour atteindre un objectif précis. Les problématiques d'aujourd'hui portant entre autres, sur le développement durable et la RSE, favorisent l'émergence de nouveau courant de pensée, tant leur association avec le monde des affaires est complexe. C'est souvent sans revoir l'approche managériale que les entreprises se lancent dans des politiques de développement durable et RSE, et il en résulte un empêtrement de difficultés managériales.
Réfléchir avant d'agir
Le culte de l'urgence amène les managers à agir souvent trop vite, pour résoudre des problèmes. Ainsi, la portée de leurs actes est bien souvent, inefficace sur le long terme. Prenons l'exemple du multi nationalisme des équipes de travail, dans lesquelles des conflits interviennent sans que la cause ne soit vraiment connue. On met en place des dispositifs, des méthodes, des protocoles et tous autres freins au conflit, mais les managers se préoccupent rarement de l'origine profonde des problèmes. Ainsi, une approche par la philosophie permettrait par exemple de comprendre la vision et le ressenti de chacun face à des situations de conflit. De cette manière, les actions entreprises pour résoudre tel ou tel conflit pourraient se faire avec plus d'efficacité, car elles seraient davantage ciblées. C’est d’abord par une approche globale que pourra se définir le ciblage des actions. Ainsi, les obstacles peuvent être dépassés, et les conflits, prévenus à l'avance. Il s'agit en fait d'agir dans la lucidité du contexte, tel qu'il est dans sa globalité et dans sa spécificité.
Lucidité et culture générale
L'approche du management consiste le plus souvent à exclure les facteurs de perturbations. Or, à force de barrières, et de dispositifs, l'exclusion apporte à son tour des problématiques. Un cercle vicieux qui par une approche philosophique peut être rompu. Plutôt que d'exclure, il faut intégrer les facteurs opérationnels avec lucidité. Autrement dit, il faut appréhender les situations avec une intelligence aussi bien pratique qu’émotionnelle. Pour en revenir aux conflits récurent dans les équipes multiculturelles, ces derniers pourraient également être résolus par le seul fait de ne faire travailler ensemble, que des personnes possédant une forte culture générale. Leur cadre de référence étant plus large, une autorégulation se mettrait en place naturellement. Ainsi, avant d’associer des compétences très spécifiques, et de cloisonner les relations, il convient de savoir dans quelle mesure la communication pourra être efficace et comment les objectifs finaux pourraient être atteints. Faire travailler des personnes ensemble, qui ont des aptitudes humaines développées, et une grande culture générale peut ainsi s'avérer plus efficace au développement d'innovation par exemple.