Un positionnement stratégique
Dans une interview récente, Marc Villand révélait le lancement d’un concept inédit pour le groupe de promotion immobilière qu’il préside depuis 2003. Il le résume en ces mots : « Cultiver l’art de la ville ». Une manière de réunir deux passions pour ce cinquantenaire épris de livres et de jardins ! Cette initiative a le mérite de combiner dans les résidences du groupe Interconstruction la diffusion d’œuvres littéraires et la promotion de la biodiversité dans les jardins. « En ce qui concerne le livre, l’idée consiste à proposer dans les parties communes de chacun de nos immeubles un fonds de livres, classiques et numériques, qui sera alimenté par une librairie locale », explique Marc Villand (1).
Repris en 2003 par Marc Villand, Interconstruction est devenu un acteur de référence dans la construction de logements neufs à côté des grands du marché (comme Nexity, Marignan, BNP Paribas, Bouygues Immobilier ou Altarea Cogedim…), performance à souligner pour un groupe de taille moyenne qui est resté totalement indépendant, tout en limitant sa croissance externe au profit d’une croissance interne « raisonnée » (2). La vision de ses dirigeants, Marc Villand accompagné de Gilles Imbert, son directeur général, repose en effet sur trois piliers : la qualité, la performance urbaine, l’art et la culture. Et le succès de l’entreprise, à les écouter, résulterait fondamentalement de l’engagement de tous leurs collaborateurs.
La qualité
Interconstruction fonde son positionnement sur l’art de bâtir : qualité de l’architecture et des prestations, innovation en matière de développement durable, emplacements urbains de choix sur les grands axes de circulation et de transport franciliens… Le groupe est en effet très présent en Île-de-France, où il contribue à l’aménagement de quartiers en plein renouveau.
Gilles Imbert, directeur général d’Interconstruction, décrit ainsi les ressorts de cette quête permanente de qualité : « Nous répondons au mieux aux besoins des utilisateurs et des acquéreurs de logements et nous suivons au plus près l’évolution des usages dans les nouvelles façons de vivre, de travailler et de se déplacer. Jardins partagés, racks de rangement et outils de réparation pour les vélos, sécurisation des accès… Autant d’éléments qui contribuent à la qualité de vie dans nos résidences. » (3)
La performance urbaine
Gilles Imbert ajoute : « Nous veillons particulièrement aux éléments qui améliorent la vie dans un quartier. Et, pour cela, nous travaillons en amont avec les élus locaux et les aménageurs, les investisseurs et utilisateurs de commerces en pied d’immeuble. » Ce sens aigu de la performance urbaine vaut au groupe Interconstruction d’être bien implanté en banlieue sud et ouest. Interconstruction développe et construit des programmes dans les Hauts-de-Seine : Asnières, Chatenay-Malabry, Clichy-la Garenne ou Saint-Cloud… Mais aussi dans le Val d’Oise, à Montigny-lès-Cormeilles ou Bezons… Et il est très actif dans les Yvelines, à Rocquencourt, Guyancourt ou Montigny-le-Bretonneux.
L’art et la culture
Après avoir été précurseur dans l’art, depuis 2006, en faisant réaliser une œuvre par un artiste dans chacune de ses réalisations, Interconstruction lance aujourd’hui un fonds de dotation reposant sur son nouveau concept, « L’art de cultiver la ville ». Le promoteur est par ailleurs mécène pour de l’événement « Ouverture de champ » – un rendez-vous mêlant handicap, image et humour que LADAPT produit chaque printemps.
Trois raisons ont amené le groupe Interconstruction à devenir mécène. La première tient aux liens étroits que le groupe a tissés avec cette grande association de rééducation au moment de l’acquisition de son site historique situé à Saint-Cloud, terrain sur lequel le promoteur a pu créer un programme haut-de-gamme, « Regards en Seine ». La deuxième raison est qu’Interconstruction a lancé pour LADAPT une maison médicalisée à Valence, actuellement en phase de montage. Une dernière raison, presque confidentielle : « J’ai été personnellement bénéficiaire des soins de LADAPT, pour une rééducation fonctionnelle après une opération délicate du genou », confesse Marc Villand. C’est dire qu’une relation de confiance et d’estime mutuelle a été nouée avec les dirigeants de cette grande association de rééducation.
Un engagement indéfectible des équipes
Reste une question : dans un contexte hyperconcurrentiel, comment ce groupe indépendant parvient-il à rivaliser avec de grands groupes qui disposent d’une force financière bien supérieure ? Pour Gilles Imbert, il n’y a pas de secret : « La clef de notre succès réside dans la qualité de nos réalisations, qui résulte elle-même de l’implication de nos équipes. Pour dire les choses autrement, un promoteur indépendant est obligé de tenir ses engagements encore plus que les autres. C’est ce qui fait la différence en faveur d’un groupe comme Interconstruction : notre exigence de qualité nous permet de tisser des liens solides et durables avec nos partenaires dans les communes qui attendent de nous de la présence, de l’écoute et des réponses claires. Car la promotion immobilière requiert un sens relationnel authentique avec nos partenaires locaux. Nous pouvons ainsi fidéliser, capitaliser et réaliser d’autres programmes sur les communes qui nous connaissent déjà. » Sous un autre sens, c’est cela aussi « cultiver l’art de la ville »
(1) https://www.sensemaking.fr/Marc-Villand-Interconstruction-%E2%80%89Les-promoteurs-immobiliers-aiment-les-realisations-innovantes%E2%80%89_a323.html
(2) https://www.speedylife.fr/Interconstruction-promotion-de-l-humain_a1158.html
(3) http://www.economiematin.fr/news-gilles-imbert-groupe-interconstruction-nous-contribuons-a-l-amenagement-de-quartiers-en-plein-renouveau- -
Dans une interview récente, Marc Villand révélait le lancement d’un concept inédit pour le groupe de promotion immobilière qu’il préside depuis 2003. Il le résume en ces mots : « Cultiver l’art de la ville ». Une manière de réunir deux passions pour ce cinquantenaire épris de livres et de jardins ! Cette initiative a le mérite de combiner dans les résidences du groupe Interconstruction la diffusion d’œuvres littéraires et la promotion de la biodiversité dans les jardins. « En ce qui concerne le livre, l’idée consiste à proposer dans les parties communes de chacun de nos immeubles un fonds de livres, classiques et numériques, qui sera alimenté par une librairie locale », explique Marc Villand (1).
Repris en 2003 par Marc Villand, Interconstruction est devenu un acteur de référence dans la construction de logements neufs à côté des grands du marché (comme Nexity, Marignan, BNP Paribas, Bouygues Immobilier ou Altarea Cogedim…), performance à souligner pour un groupe de taille moyenne qui est resté totalement indépendant, tout en limitant sa croissance externe au profit d’une croissance interne « raisonnée » (2). La vision de ses dirigeants, Marc Villand accompagné de Gilles Imbert, son directeur général, repose en effet sur trois piliers : la qualité, la performance urbaine, l’art et la culture. Et le succès de l’entreprise, à les écouter, résulterait fondamentalement de l’engagement de tous leurs collaborateurs.
La qualité
Interconstruction fonde son positionnement sur l’art de bâtir : qualité de l’architecture et des prestations, innovation en matière de développement durable, emplacements urbains de choix sur les grands axes de circulation et de transport franciliens… Le groupe est en effet très présent en Île-de-France, où il contribue à l’aménagement de quartiers en plein renouveau.
Gilles Imbert, directeur général d’Interconstruction, décrit ainsi les ressorts de cette quête permanente de qualité : « Nous répondons au mieux aux besoins des utilisateurs et des acquéreurs de logements et nous suivons au plus près l’évolution des usages dans les nouvelles façons de vivre, de travailler et de se déplacer. Jardins partagés, racks de rangement et outils de réparation pour les vélos, sécurisation des accès… Autant d’éléments qui contribuent à la qualité de vie dans nos résidences. » (3)
La performance urbaine
Gilles Imbert ajoute : « Nous veillons particulièrement aux éléments qui améliorent la vie dans un quartier. Et, pour cela, nous travaillons en amont avec les élus locaux et les aménageurs, les investisseurs et utilisateurs de commerces en pied d’immeuble. » Ce sens aigu de la performance urbaine vaut au groupe Interconstruction d’être bien implanté en banlieue sud et ouest. Interconstruction développe et construit des programmes dans les Hauts-de-Seine : Asnières, Chatenay-Malabry, Clichy-la Garenne ou Saint-Cloud… Mais aussi dans le Val d’Oise, à Montigny-lès-Cormeilles ou Bezons… Et il est très actif dans les Yvelines, à Rocquencourt, Guyancourt ou Montigny-le-Bretonneux.
L’art et la culture
Après avoir été précurseur dans l’art, depuis 2006, en faisant réaliser une œuvre par un artiste dans chacune de ses réalisations, Interconstruction lance aujourd’hui un fonds de dotation reposant sur son nouveau concept, « L’art de cultiver la ville ». Le promoteur est par ailleurs mécène pour de l’événement « Ouverture de champ » – un rendez-vous mêlant handicap, image et humour que LADAPT produit chaque printemps.
Trois raisons ont amené le groupe Interconstruction à devenir mécène. La première tient aux liens étroits que le groupe a tissés avec cette grande association de rééducation au moment de l’acquisition de son site historique situé à Saint-Cloud, terrain sur lequel le promoteur a pu créer un programme haut-de-gamme, « Regards en Seine ». La deuxième raison est qu’Interconstruction a lancé pour LADAPT une maison médicalisée à Valence, actuellement en phase de montage. Une dernière raison, presque confidentielle : « J’ai été personnellement bénéficiaire des soins de LADAPT, pour une rééducation fonctionnelle après une opération délicate du genou », confesse Marc Villand. C’est dire qu’une relation de confiance et d’estime mutuelle a été nouée avec les dirigeants de cette grande association de rééducation.
Un engagement indéfectible des équipes
Reste une question : dans un contexte hyperconcurrentiel, comment ce groupe indépendant parvient-il à rivaliser avec de grands groupes qui disposent d’une force financière bien supérieure ? Pour Gilles Imbert, il n’y a pas de secret : « La clef de notre succès réside dans la qualité de nos réalisations, qui résulte elle-même de l’implication de nos équipes. Pour dire les choses autrement, un promoteur indépendant est obligé de tenir ses engagements encore plus que les autres. C’est ce qui fait la différence en faveur d’un groupe comme Interconstruction : notre exigence de qualité nous permet de tisser des liens solides et durables avec nos partenaires dans les communes qui attendent de nous de la présence, de l’écoute et des réponses claires. Car la promotion immobilière requiert un sens relationnel authentique avec nos partenaires locaux. Nous pouvons ainsi fidéliser, capitaliser et réaliser d’autres programmes sur les communes qui nous connaissent déjà. » Sous un autre sens, c’est cela aussi « cultiver l’art de la ville »
(1) https://www.sensemaking.fr/Marc-Villand-Interconstruction-%E2%80%89Les-promoteurs-immobiliers-aiment-les-realisations-innovantes%E2%80%89_a323.html
(2) https://www.speedylife.fr/Interconstruction-promotion-de-l-humain_a1158.html
(3) http://www.economiematin.fr/news-gilles-imbert-groupe-interconstruction-nous-contribuons-a-l-amenagement-de-quartiers-en-plein-renouveau- -