Jardins paisibles et conviviaux, espaces pensés pour les familles, façades lumineuses… Au premier coup d’œil, l’humain s’impose au cœur des plans de fabrication du groupe Interconstruction. Avec ce qu’il y a de plus spécifique dans l’approche de ce promoteur : l’association entre l’art et l’architecture.
Développement tous terrains
Paris intramuros est presque devenu un enfer pour les promoteurs immobiliers. Alors investir certaines localités en périphérie de la capitale s’est imposé comme un choix sûr, et surtout une orientation fidèle aux valeurs qu’Interconstruction souhaite véhiculer à travers ses projets. Aux alentours de Paris, plusieurs havres de paix ont ainsi été sélectionnés, comme celui de Rocquencourt que le promoteur a choisi pour implanter le projet Les Terrasses de l’Arboretum. Ici, sept petits immeubles collectifs entourent un grand jardin. Les logements – allant du studio à l’appartement 5 pièces – y sont tous dotés d’un jardin ou d’une grande terrasse. Les plus chanceux peuvent même y acquérir des maisons sur les toits, alliant architecture moderne et normes environnementales BBC-Effinergie. Proche de la forêt de Marly et de l’Arboretum de Chèvreloup, ce projet est particulièrement bien desservi depuis Paris grâce à l’autoroute A13 toute proche.
Un peu plus au nord, Interconstruction a également sélectionné d’autres communes comme Montigny-lès-Cormeilles pour le projet Métamorphoz ou les Hauts-de-Cergy dans le Val d’Oise pour le projet Alizée, tous les deux sur l’A15, ce qui offre aux acquéreurs un accès quasi-instantané au réseau routier. Plus proches de la capitale, d’autres complexes immobiliers sont en train de sortir de terre, comme Rive Ouest à Boulogne-Billancourt, Art-en-Seine à Asnières, Garden Station à Clichy-La-Garenne, les Allées Nature à Aubervilliers, Interlude à Châtenay-Malabry, En Aparté à Châtillon… La liste est longue, et la livraison des logements attendue entre 2018 et 2019.
Un promoteur fier de ses valeurs
Fondé en 1960, le groupe indépendant Interconstruction se développe principalement en région parisienne et dans l’ouest de la France. Repris en 2003 et redynamisé par Marc Villand, le groupe affiche un chiffre d’affaires annuel oscillant entre 130 et 180 millions d’euros, et se compose de trois entités : Interconstruction, holding du groupe, qui travaille en région Ile-de-France, Interconstruction Ouest qui réaliser des opérations immobilières sur l’Arc atlantique et enfin Interconstruction REM, spécialisée en immobilier d’exploitation.
Très actif dans le domaine résidentiel en Ile-de-France, à la fois sur les marchés de l’accession libre et celui du logement social, le groupe a bâti sa réputation sur le choix des sites géographiques, soit en centre-ville, soit à proximité directe de grands axes de transport. Un choix dicté par la recherche architecturale, par le cadre de vie des futurs propriétaires et locataires, et par la volonté de remettre une mixité sociale réelle au centre de la vie de la cité. Avec, en ligne de mire, l’objectif de renouveler la façon d’aborder l’urbanisme, avec rigueur et professionnalisme. « Réaliser, c’est imaginer. Réaliser, c’est concevoir. Réaliser, c’est construire. Toutes ces étapes doivent s’enchaîner avec rigueur sous la direction d’un professionnel, véritable chef d’orchestre du projet, remarque Marc Villand, PDG du Groupe Interconstruction. Si chacune des phases d’une opération immobilière est l’occasion pour de multiples intervenants d’exprimer leur talent, le promoteur-constructeur demeure le garant du projet, non seulement auprès des collectivités territoriales, mais aussi vis-à-vis de ses clients. »
Une constance qui se pérennisera probablement dans le sillage de ce PDG qui se bat sur tous les fronts. En mars dernier, Marc Villand a été élu à la présidence de la Chambre d’Ile-de-France de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), en remplacement de Christian Terrassoux. Une passation de pouvoirs qui lui a permis de rappeler la nécessité de peser sur les textes et les règlements de tout nature, et surtout d’insister sur le rôle prépondérant que doit jouer la FPI au sein des instances où se dessine le Grand Paris
Fort de cette implantation en Ile-de-France et de son expérience de terrain auprès des acteurs locaux, le Groupe Interconstruction construit donc sa notoriété sur la construction d’immeubles collectifs en zone urbaine dense. Le groupe a généré ainsi 30000m2 de résidences dédiées et plus de 250000m2 de bureaux. Il développe notamment des projets de résidences étudiantes, de résidences médicalisées et de résidences touristiques.
Une approche pluridisciplinaire du travail, un souci permanent d’intégrer les bâtiments dans leur environnement et une volonté de bâtir des relations durables avec tous leurs partenaires, animent par ailleurs les différents pôles du groupe. La satisfaction de la clientèle reste évidemment l’objectif nº1 des équipes d’Interconstruction. Gilles Imbert, directeur général d’Interconstruction, insiste d’ailleurs sur la transparence dans l’approche des projets. « A partir du moment où l’on a une bonne communication vis-à-vis de nos clients, à partir du moment où l’on est transparent avec eux, nous limitons les conséquences des problèmes que l’on peut rencontrer », souligne-t-il. Si choyer et garder ses clients est une chose, en attirer d’autres est essentiel. C’est pourquoi le Groupe Interconstruction a choisi de se développer sur le marché français, en regardant un premier temps vers la façade atlantique. Ce développement régional s’effectue aujourd’hui à travers la structure Interconstruction Ouest. Un élargissement qui s’explique aussi par la volonté de diversifier les interlocuteurs. Avec, en particulier, une attention toute particulière portée aux bailleurs sociaux avec lesquels le groupe a tissé des liens forts ces dernières années. Le Groupe Interconstruction a dans ce cadre remporté plusieurs concours organisés par l’Agence nationale en renouvellement urbain (ANRU).
La culture en guise de fil rouge
Mais ce qui distingue le Groupe Interconstruction de ses concurrents touche à quelque chose d’immatériel, et de pourtant fondamental : l’Histoire avec un grand H et, à travers elle, la culture qu’elle véhicule. Marc Villand a ainsi imposé une griffe reconnaissable, liée à son goût pour l’art contemporain. C’est un choix presque philosophique pour le promoteur : chaque immeuble, chaque hall accueille des œuvres d’artistes, français ou étrangers. Et parfois de grandes pointures, comme en 2014 avec l’artiste américain Michael Murphy. Murphy s’était par exemple fait remarquer mondialement avec sa sculpture de Barak Obama, publiée en une de Time Magazine en 2012. Pour Interconstruction, ce même Murphy a signé une œuvre pour l’immeuble Plein Sud à Massy, au sud de Paris.
« Nous misons sur l’implication des hommes, rappelle avec fierté Marc Villand. Aujourd’hui nos équipes, à tous les niveaux, sont l’expression de nos valeurs d’entreprise. Par le développement des savoir-faire et l’innovation, nous retrouvons le plaisir de construire ensemble. Par l’intensité de notre engagement, nous marquons notre différence. Par notre désir de qualité, nous renouvelons l’art de bâtir. Et c’est pourquoi nous tenons à signer toutes nos réalisations d’une œuvre d’art. » Les œuvres choisies, d’origine très diverses, ont toutes un dénominateur commun : leur mélange de souplesse et de solidité, de flexibilité et de légèreté. A l’image d’autres constructions humaines, venues d’un autre temps pour lequel se passionne l’écrivain Marc Villand : l’Âge des Vikings et ses drakkars. Pureté des lignes, absence d’éléments superflus, excellence des performances. La ligne de mire d’une entreprise à l’aise dans sa singularité.
Développement tous terrains
Paris intramuros est presque devenu un enfer pour les promoteurs immobiliers. Alors investir certaines localités en périphérie de la capitale s’est imposé comme un choix sûr, et surtout une orientation fidèle aux valeurs qu’Interconstruction souhaite véhiculer à travers ses projets. Aux alentours de Paris, plusieurs havres de paix ont ainsi été sélectionnés, comme celui de Rocquencourt que le promoteur a choisi pour implanter le projet Les Terrasses de l’Arboretum. Ici, sept petits immeubles collectifs entourent un grand jardin. Les logements – allant du studio à l’appartement 5 pièces – y sont tous dotés d’un jardin ou d’une grande terrasse. Les plus chanceux peuvent même y acquérir des maisons sur les toits, alliant architecture moderne et normes environnementales BBC-Effinergie. Proche de la forêt de Marly et de l’Arboretum de Chèvreloup, ce projet est particulièrement bien desservi depuis Paris grâce à l’autoroute A13 toute proche.
Un peu plus au nord, Interconstruction a également sélectionné d’autres communes comme Montigny-lès-Cormeilles pour le projet Métamorphoz ou les Hauts-de-Cergy dans le Val d’Oise pour le projet Alizée, tous les deux sur l’A15, ce qui offre aux acquéreurs un accès quasi-instantané au réseau routier. Plus proches de la capitale, d’autres complexes immobiliers sont en train de sortir de terre, comme Rive Ouest à Boulogne-Billancourt, Art-en-Seine à Asnières, Garden Station à Clichy-La-Garenne, les Allées Nature à Aubervilliers, Interlude à Châtenay-Malabry, En Aparté à Châtillon… La liste est longue, et la livraison des logements attendue entre 2018 et 2019.
Un promoteur fier de ses valeurs
Fondé en 1960, le groupe indépendant Interconstruction se développe principalement en région parisienne et dans l’ouest de la France. Repris en 2003 et redynamisé par Marc Villand, le groupe affiche un chiffre d’affaires annuel oscillant entre 130 et 180 millions d’euros, et se compose de trois entités : Interconstruction, holding du groupe, qui travaille en région Ile-de-France, Interconstruction Ouest qui réaliser des opérations immobilières sur l’Arc atlantique et enfin Interconstruction REM, spécialisée en immobilier d’exploitation.
Très actif dans le domaine résidentiel en Ile-de-France, à la fois sur les marchés de l’accession libre et celui du logement social, le groupe a bâti sa réputation sur le choix des sites géographiques, soit en centre-ville, soit à proximité directe de grands axes de transport. Un choix dicté par la recherche architecturale, par le cadre de vie des futurs propriétaires et locataires, et par la volonté de remettre une mixité sociale réelle au centre de la vie de la cité. Avec, en ligne de mire, l’objectif de renouveler la façon d’aborder l’urbanisme, avec rigueur et professionnalisme. « Réaliser, c’est imaginer. Réaliser, c’est concevoir. Réaliser, c’est construire. Toutes ces étapes doivent s’enchaîner avec rigueur sous la direction d’un professionnel, véritable chef d’orchestre du projet, remarque Marc Villand, PDG du Groupe Interconstruction. Si chacune des phases d’une opération immobilière est l’occasion pour de multiples intervenants d’exprimer leur talent, le promoteur-constructeur demeure le garant du projet, non seulement auprès des collectivités territoriales, mais aussi vis-à-vis de ses clients. »
Une constance qui se pérennisera probablement dans le sillage de ce PDG qui se bat sur tous les fronts. En mars dernier, Marc Villand a été élu à la présidence de la Chambre d’Ile-de-France de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), en remplacement de Christian Terrassoux. Une passation de pouvoirs qui lui a permis de rappeler la nécessité de peser sur les textes et les règlements de tout nature, et surtout d’insister sur le rôle prépondérant que doit jouer la FPI au sein des instances où se dessine le Grand Paris
Fort de cette implantation en Ile-de-France et de son expérience de terrain auprès des acteurs locaux, le Groupe Interconstruction construit donc sa notoriété sur la construction d’immeubles collectifs en zone urbaine dense. Le groupe a généré ainsi 30000m2 de résidences dédiées et plus de 250000m2 de bureaux. Il développe notamment des projets de résidences étudiantes, de résidences médicalisées et de résidences touristiques.
Une approche pluridisciplinaire du travail, un souci permanent d’intégrer les bâtiments dans leur environnement et une volonté de bâtir des relations durables avec tous leurs partenaires, animent par ailleurs les différents pôles du groupe. La satisfaction de la clientèle reste évidemment l’objectif nº1 des équipes d’Interconstruction. Gilles Imbert, directeur général d’Interconstruction, insiste d’ailleurs sur la transparence dans l’approche des projets. « A partir du moment où l’on a une bonne communication vis-à-vis de nos clients, à partir du moment où l’on est transparent avec eux, nous limitons les conséquences des problèmes que l’on peut rencontrer », souligne-t-il. Si choyer et garder ses clients est une chose, en attirer d’autres est essentiel. C’est pourquoi le Groupe Interconstruction a choisi de se développer sur le marché français, en regardant un premier temps vers la façade atlantique. Ce développement régional s’effectue aujourd’hui à travers la structure Interconstruction Ouest. Un élargissement qui s’explique aussi par la volonté de diversifier les interlocuteurs. Avec, en particulier, une attention toute particulière portée aux bailleurs sociaux avec lesquels le groupe a tissé des liens forts ces dernières années. Le Groupe Interconstruction a dans ce cadre remporté plusieurs concours organisés par l’Agence nationale en renouvellement urbain (ANRU).
La culture en guise de fil rouge
Mais ce qui distingue le Groupe Interconstruction de ses concurrents touche à quelque chose d’immatériel, et de pourtant fondamental : l’Histoire avec un grand H et, à travers elle, la culture qu’elle véhicule. Marc Villand a ainsi imposé une griffe reconnaissable, liée à son goût pour l’art contemporain. C’est un choix presque philosophique pour le promoteur : chaque immeuble, chaque hall accueille des œuvres d’artistes, français ou étrangers. Et parfois de grandes pointures, comme en 2014 avec l’artiste américain Michael Murphy. Murphy s’était par exemple fait remarquer mondialement avec sa sculpture de Barak Obama, publiée en une de Time Magazine en 2012. Pour Interconstruction, ce même Murphy a signé une œuvre pour l’immeuble Plein Sud à Massy, au sud de Paris.
« Nous misons sur l’implication des hommes, rappelle avec fierté Marc Villand. Aujourd’hui nos équipes, à tous les niveaux, sont l’expression de nos valeurs d’entreprise. Par le développement des savoir-faire et l’innovation, nous retrouvons le plaisir de construire ensemble. Par l’intensité de notre engagement, nous marquons notre différence. Par notre désir de qualité, nous renouvelons l’art de bâtir. Et c’est pourquoi nous tenons à signer toutes nos réalisations d’une œuvre d’art. » Les œuvres choisies, d’origine très diverses, ont toutes un dénominateur commun : leur mélange de souplesse et de solidité, de flexibilité et de légèreté. A l’image d’autres constructions humaines, venues d’un autre temps pour lequel se passionne l’écrivain Marc Villand : l’Âge des Vikings et ses drakkars. Pureté des lignes, absence d’éléments superflus, excellence des performances. La ligne de mire d’une entreprise à l’aise dans sa singularité.